20H45: attérissage à l'aéroport de Ouaga.
En pleine rénovation, celui-ci ressemble plus à une ferme qu'à un aéroport international:
terre battue, mur en parpaing brut, toit en tôle.
A peine sorti de l'avion, c'est déjà la fournaise.
35°C à 21 heures! nous avons l'impression d'entrer dans un sauna géant.Des gouttes tombent déjà de mon front.
Après avoir rempli les formalités d'usage, il est temps de récupérer les bagages.Placés dans une salle surchauffée par la chaleur d'une journée digne de la canicule, nous récupérons nos valises à même le sol.Et oui!pas de tapis roulant!Une ronde désorganisée commence à s'improviser pour que chacun, à tour de rôle puisse récuperer ses précieux bagages.
21H30, nous sortons enfin de ce joyeux brouhaha.
Une dizaine de personnes, dont mon frère noir "Achille", nous attendent avec impatience....
"Bonjour mon ami,comment ça va?"
En pleine rénovation, celui-ci ressemble plus à une ferme qu'à un aéroport international:
terre battue, mur en parpaing brut, toit en tôle.
A peine sorti de l'avion, c'est déjà la fournaise.
35°C à 21 heures! nous avons l'impression d'entrer dans un sauna géant.Des gouttes tombent déjà de mon front.
Après avoir rempli les formalités d'usage, il est temps de récupérer les bagages.Placés dans une salle surchauffée par la chaleur d'une journée digne de la canicule, nous récupérons nos valises à même le sol.Et oui!pas de tapis roulant!Une ronde désorganisée commence à s'improviser pour que chacun, à tour de rôle puisse récuperer ses précieux bagages.
21H30, nous sortons enfin de ce joyeux brouhaha.
Une dizaine de personnes, dont mon frère noir "Achille", nous attendent avec impatience....
"Bonjour mon ami,comment ça va?"
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire